Les mots sont d'Andrea Dovizioso, dans la foulée du week-end noir au Sachsenring 2013 ; week-end où les rouges n'ont rien fait de miraculeux, voire où ils ont donné quelques cheveux blancs aux mécanos en broyant tout le matériel qu'on a pu leur confier.
Le discours positif est sans doute de façade et convenu, mais Dovi savait à quoi s'en tenir en arrivant à Bologne ; il voit le Reparto Corse bosser d'arrache-pied, et ne baisse pas les bras lui non-plus.